Personne ne connait le secret bien gardé de Yasmin. Elle est tellement distante depuis qu’elle est sorti d’hôpital, elle n’avait pas revu son protecteur, il ne pouvait pas toujours être avec elle aussi. Elle ne lui en veut pas elle est même contente qu’il aille bien. Elle est coucher sur son lit serrant un toutou que son père lui avait acheté à l’hôpital afin qu’elle aille un compagnon pour se confier. Il a toujours été présent pour elle et il va l’être encore. Il sait que tout l’argent qu’il possède ne peut pas retirer ce qu’elle a vécu. Elle entend cogner à la porte mais c’est une domestique qui va là bas répondre pour ne pas décevoir ses maitres. Entendant une voix masculine elle sent les larmes monté mais elle ne savait pas encore que c’était Duncan qui montait les marches pour venir jusqu’à sa chambre.

• Voilà quelques jours que je n'avais point vu ma petite protégé chérie. Elle ne m'avait point tenu au courant de ce qu'elle faisait, et sans vraiment être méchant, je n'avais point pris le temps non plus.. À vrai dire, je n'avais pas vraiment le temps avec le travail, et le travail et le travail.. J'avais l'impression que je n'allais point m'en sortir et le peu de temps qu'il pouvait me rester et bien, je le passai avec Katerina.. Je n'avais plus de temps pour moi-même. Pour relaxer, la tête ailleurs que dans le boulot et mes amours. Puis voilà que ma première journée de congé arrive après des semaines d'attente.. Je ne savais point ce que j'allai faire, mais je voulais voir Yasmin. Je voulais prendre des nouvelles de ma chère amie. Je commençai ma journée par un léger jogging, comme tous les matins pour finalement revenir au bout d'une heure à mon appartement pour m'y doucher et manger quelque chose. J'allai m'habiller par la suite, et je décidai de partir, un peu plus tôt pour aller voir Yasmin. Je pris ma voiture et conduisit jusqu'à sa maison. J'arrivai quelques minutes plus tard, pour finalement frapper à la porte. Ce fut une des gouvernantes qui ouvrit la porte, pour m'inviter à entrer.. Je la remercia et montai à l'étage pour aller voir ma protégée dans sa chambre. Lorsque j'arrivai devant la porte close, je frappai et attendit qu'elle m'ouvre.

Yasmin était de plus en plus mystérieuse, elle racontait sa vie à personne sauf à ses amis, son best était venu la voir à l’hôpital, ça lui avait fait du bien mais elle ne se sent pas en sécurité seule dans les rues le soir alors elle rentre tôt. Elle était sortie simplement hier de l’hôpital, elle ne voulait pas sortir, pourquoi alors qu’elle pouvait encore se faire attaquée par quelqu’un. Elle qui se sentait si bien chez-elle. Entendant des bruit de pas monté les marche elle avait de plus en plus peur. Elle ne se souvenait pas du visage de son agresseur mais simplement de l’odeur d’alcool qu’il dégageait. Elle sait qu’elle ne le connaissait pas car ses amies lui on dit que personne n’était là qu’on connaissait. Elle entend cogner à sa porte lâchant un crie étouffé elle se lève simplement vêtu d’une jupe et d’une chemise de couleur sombre. Marchant vers la porte tremblante elle fini par ouvrir la porte la tête regardant le sol, elle retient ses larme pour voir les vêtements de Duncan levant les yeux elle fondit en larme devant lui.

Yasmin le laisse faire lorsqu’il la colle à lui elle se colle tenant la veste de Duncan dans ses mains elle savait que rien ne pouvait lui arrivé, elle avait parfaitement confiance en lui. Elle mettrait sa vie dans ses mains et ça depuis qu’elle le connait. Sa voix est tellement rassurante. L’écoutant elle se calma lentement pour marcher avec lui. Posant son regard dans le sien elle essuie ses larmes pour le regarder toujours. Faisant oui de la tête elle prend son courage à deux mains pour parler. «J’était avec des copines il y a deux mois…lorsque je…lorsque ça c’est passer. On était dans une boite de nuit. On s’amusait bien mais je ne me souvient pas de grand-chose seulement que je me suis réveillé à l’hôpital mon père près de moi et les infirmière parlait de viole, et que j’avait des ecchymoses partout.» elle recommence à pleuré. «Mon père à voulu que je reste deux mois là bas car il avait pas trop le temps de s’occupé de moi ici alors que ma mère est encore en voyage. Les infirmières ont pris soin de moi tout le temps. Mais après une pris de sang mon père à commencé à être méchant, son ton avait changé avec les autres, il avait permis à Cristian de venir me voir car il savait que c’était comme mon frère et que j’avais besoin de voir du monde du dehors…Mon père à lâché : Se salop pouvait pas se retenir…il a fallu qu’il la met enceinte en plus. » elle n’était plus capable de rien dire. Lâchant d’une main les mains de Duncan elle la pose sur son ventre

• Dès que mon regard avait croisé le sien, je savais déjà que quelque chose n'allait pas.. Puis lorsqu'elle se mit à pleurer, j'eus la confirmation. Je la tirai vers moi pour la réconforter.. J'étais là maintenant.. Pourtant, je m'en voulais même si je ne savais pas ce qui s'était passée, de ne pas avoir été là pour elle.. Après un moment, je la trainai à l'intérieur de sa chambre, pour refermer la porte derrière moi, et l'entraînai à son lit pour l'asseoir, et pour m'agenouiller devant elle, pour qu'elle me raconte ce qui se passait. Plus qu'elle parlait, plus que je sentis la rage monté en moi, plus j'avais envie de frapper quelqu'un ou quelque chose, mais je restai calme, du moins j'essayai.
  
  C'est correct, je suis là..
  
  Je la tirai vers moi, pour encore une fois la prendre dans mes bras pour la consoler.. Puis toujours en la gardant dans mes bras, je lui demandai :
  
  Mais pourquoi m'as-tu point prévenu avant? Je croyais que tu me faisais confiance..
  
  Ce n'était point méchant de la façon que je l'avais dit.. C'est tout simplement de l'inquiètude. J'aurais aimé être au courant plus tôt comme cela, j'aurais pu m'occuper de Yasmin..

Yasmin n’avait pas appelé car cela lui avait été interdit et encore moins de pouvoir voir Duncan. Son père ne sait pas pourquoi elle lui fait autant confiance. Il le trouve très pédophile pour se tenir avec une fille de 17 ans qui va bientôt avec 18. Elle se fou de tout ce qu’il dit mais elle aurait aimé le voir aussi. Le serrant contre elle, elle ferme doucement les yeux pour l’écouté lui parler elle se mit à rire légèrement. «Si ça n’avait été que de moi je ne serais pas resté là durant deux mois, je t’aurais appeler pour que tu viennes me chercher mais mon père ne te fait pas confiance et me connaissant il ma confisqué mon cellulaire et le téléphone. Les infirmière le savait que je n’avais pas le droit. Il est très dirigeant et lorsque ma fête va arrivé il va souffrir en me perdant.» elle regarde son ventre avant de se levé. «Tu me fait prendre l’air…je me change et on va dehors dans le jardin.» étant dans la plus grande villa de la ville elle a donc le plus grand terrain. C’est ça la famille royale. Elle va dans son meuble pour prendre une pair de short et une camisole les mettant elle se tourne vers lui. «On y vas»

• Comme c'était une surprise de savoir que le père de Yasmin ne me faisait pas confiance.. J'étais au courant depuis le début, depuis que je me considèrais le protecteur de la jeune femme.. Ce dernier n'avait jamais vraiment été des plus gentils avec moi, et il me l'avait dit lui-même très clairement, mais qu'est-ce que vous voulez.. Je gardais ma parole envers ma protégée, et ça jusqu'à la fin. Et même encore-là, je ne comprenais pas pourquoi son père lui avait totalement interdit de m'apeller ou d'apeller n'importe qui pour qu'elle parle ou que j'aie la chercher. Et même si ce n'était point de ma faute, je m'en voulais quand même.. Pourquoi, vous me demanderez? Et bien, j'en est aucune idée mais simplement le fait d'avoir été là, le soir où tout c'était produit, aurait fait un gros changement, dans ma culpabilité. Mais après y avoir penser, et d'avoir la jeune femme avec moi, je me comptais tout simplement chanceux de la voir, vivante et malgré les larmes, en forme.. C'est certain que ce mot, était large mais quand même. Peu importe, je lui souris légèrement et je lui dis :
  
  Ouais, d'accord.. Comme si c'était une surprise que ton père ne me fait pas confiance.. Et après réflexion, je ne sais même pas pourquoi... Peu importe, je suis contente que tu sois mieux, et oui, allons-y.
  
  Puis, nous sortions à l'extérieur, au jardin comme elle me l'avait demandé.