Aujourd’hui , j’avais eue ma deuxième engueulade avec ma sœur et surtout mon frère . Ils n’aimaient pas la relation que j’avais avec Rhamonn , voir si c’est vraiment une relation comme les autres mais je ne vais surtout pas commencer à dire que je suis amoureuse de lui sur tous les toits et que personne ne pourra m’entendre . C’est un peu trop pour moi . Alors en leur disant que j’allais partir pour la journée et qu’ils ne devaient pas m’attendre , je sortit donc pour commencer à marcher quand je sentis mon portable vibrer . Le cherchant pendant quelques secondes , je le prise finalement dans mes mains pour le porter à mon oreille afin d’entendre Amaryllis . C’étais une très bonne amie à moi-même que nous aimions passer du temps ensembles alors je ne pouvais surtout pas refuser quelque chose de sa part ce qui est de pouvoir aller magasiner . Nous sommes des accros du shopping si on peut le dire . Un petit sourire se dessinait sur mes lèvres , finalement , la journée allait peut-être être mieux que je ne l’aurais penser . Une fois arriver à destination , je vint à aller dans les files de magasin pour regarder des trucs que je pourrais prendre et acheter mais comme j’avais eue une paye de mon travail , je décide donc de l’attendre avant de dévaliser les boutiques quand je la vis , je souriais en m’approchant d’elle . « Tiens salut . Tu va bien ? » dis-je en souriant encore plus en croisant mes bras tout en gardant mon sac à main sur mon épaule .

Pour tous dire , je suis assez ponctuelle dans les choses que je fais que ce soit attendre une personne dans un centre d’achat ou quand nous avons une sortie dans les boîtes de nuit , j’avais toujours eue l’idée de me dépêcher pour ne pas arriver en retard puisque je me souvenait d’une fois où j’avais arriver en retard dans mon cour de biologie et mon professeur n’a surtout pas aimer cela qu’il m’a coller une retenue , c’est depuis tout ce temps que j’aime bien ne pas les faire attendre puisqu’on ne sait jamais ce qui peux se passer après cela . Alors quand je suis dans mes cours , je prend toujours un malin fou à arriver genre , dix ou quinze minutes à l’avance pour que mes professeurs pensent que je suis une élève studieuse mais je ne veux surtout pas commencer à passer pour une personne que je ne suis pas . Bref , sans dire un mot , je dépose mes mains dans mes poches de mon chandail en faisant quelques pas , ou simplement pour regarder l’heure qu’il était puisque Amaryllis devait être arrivée il y à de cela quelques minutes . La voyant au loin , je souriais doucement pour pouvoir m’approcher d’elle . Celle-ci me demandais si elle ne m’avait pas trop fait attendre . « Je vais bien et Oh bien sûr , c’était tellement long que j’ai faillit partir seule dans les boutiques … » dis-je avec un sourire amusé et un petit sourire sortit de ma bouche . Entendant qu’elle avait besoin de nouvelles chaussures , j’hochais la tête en passant ma main dans mes cheveux bruns pour pouvoir continuer ma marche en sa compagnie en regardant le sol quelques instants . Il faut admettre que je n’avais pas vraiment besoin de nouvelles chaussures ou quelques chose du genre mais j’allais essayer de lui faire plaisir alors sans ronchonner , nous nous dirigions alors vers la première boutique de chaussures pour que je tourne mon regard vers elle quand elle me demandait si il y avait du neuf . « Pas grand-chose à vrai dire .. Toi ? »

La ponctualité, ce n'était pas encore quelque chose de totalement incrusté dans mon esprit. Il faut dire que j'avais l'habitude d'arriver quand je voulais, et si je faisais attendre les gens, ce n'était pas mon problème au bout du compte. Il fallait que je m'habitue à présent à être ponctuelle, parce que les gens qui ne connaissaient pas mon ancienne célébrité d'adolescente-star n'allaient certainement pas vouloir m'attendre longtemps et allaient me laisser tomber, tout simplement. Heureusement, Berlioze avait eu la gentillesse de me pardonner mes quelques minutes de délai, je pus le savoir quand elle sourit et laissa échapper un léger rire par la suite. Heureusement d'ailleurs, parce que j'ai cru qu'elle était sérieuse quand elle dit qu'elle était sur le point de partir toute seule pour faire les boutiques. À ce moment, je m'étais mordue la lèvre inférieure, mais je la relâchai aussitôt, ne ressentant plus aucun remord. Puis, sur ces mots, nous commençâmes à marcher pour se rendre à la boutique de chaussure. - Pas grand-chose non plus... C'est à ce moment que nous arrivâmes vers la première boutique de chaussures. En entrant, je ne put m'empêcher de faire une grimace en voyant les premières chaussures, bon marché et à bas prix. Non pas parce que je détestais les aubaines, bien au contraire, mais j'aimais plutôt les rabais sur les chaussures chères plutôt que celles qui ne tiennent pas longtemps et qui sont dépassées. Je me dirigeai donc, en m'assurant que Berlioze me suive, vers les chaussures plus chères. Puis, je vis deux paires de chaussures que j'aimais vraiment. Je dis: - Tu en penses quoi ?. Je savais bien qu'elles devaient être hors de portée pour la majorité des clientes dans cette boutique, mais je n'en avais rien à faire, parce que moi, j'avais les moyens de les acheter. Peut-être était-ce une gaffe, de montrer que je n'avais pas honte de m'acheter des trucs hors de prix ?

J’avais bien sûr accepter de venir faire les magasins en compagne de Amaryllis puisque j’admet pouvoir m’ennuyer surtout les journées de congé mais je n’allais quand même pas commencer à me plaindre sur tout et rien sans pouvoir me demander pourquoi je ne passerais pas du bon temps entre amies . Mais il y avait aussi Cameron qui voulait me voir mais malheureusement , je ne savais pas si c’est un bon moment pour nous depuis que je vois dans son regard qu’il m’aime plus qu’il ne pouvait le croire . Mais j’aime mieux avoir une simple amitié avec lui que de pouvoir l’aimer puisque mes sentiments envers Rhamonn étaient toujours les même , même si il avait l’air à m’en vouloir de tout et de rien . Je ne veux surtout pas qu’il le prenne mal quand j’allais lui dire que j’avais des sentiments amoureux envers l’homme riche de Valencia , ou plutôt sa famille qui possède tout ce qu’elle veux . Mais ça ne me ressemble pas d’aimer quelqu’un seulement pour son argent puisque ce n’est pas ce que je veux de Rhamonn . Je veux qu’il soit beaucoup plus gentil qu’il ne voulait le montrer , il y avait une facette en lui que je savais qu’il ne voulait pas montrer . Un côté affectueux comme on peut le dire mais sans doute que mes rêves sont un peu trop loin dans ma mémoire pour que je puisse commencer à me dire que je n’ai pas tout ce que je veux puisque j’ai quand même ma petite sœur qui est nouvellement enceinte et qu’elle souhaite garder le bébé ,. En tout cas , c’est ce que je veux qu’elle fasse . Bref , tout en restant dans mon esprit , je regarde doucement mon amie qui m’avait amenée dans un magasin de chaussures . J’admet que ce n’est pas tellement mon genre mais surtout que je n’ai pas vraiment assez d’argents pour ce genre de choses . Mais bon , la suivant , je croise les bras pour commencer à observer mon amie qui avait dans la main une nouvelle paire alors je souriais pour l’encourager mais regardant le prix , je remet mon regard vers elle .. « Hum … Ce n’est pas un peu … Cher ? » dis-je en gardant mon regard vers mon amie pour pouvoir déposer mes mains dans mes poches . J’ignorais qu’elle en avait les moyens mais j’admet surtout que je n’ai pas assez d’argents pour me permettre cela mais la classe haute que la mienne en a alors la regardant , je ne comprenais pas trop .

Acheter des chaussures qui coûtaient aussi chers, c'était quelque chose de normal pour moi. Enfin, quand le vendeur me reconnaissait et décidait de m'offrir la paire que je convoitais. Cette fois-ci, je ne pouvais pas compter là-dessus, et je ne voulais pas vraiment y penser non plus. Donc, je me débrouillai moi-même, et quand je vis que la paire présentée était de ma taille, j'enlevai ma chaussure et l'essayai. Comme je m'y en attendais, parce que j'avais déjà des chaussures de cette marque, elle était confortable, et je l'aimais bien. Je ne prenais pas le temps d'y penser d'avantage, je les mis dans leur boîte, décidée à les prendre. Puis, c'est à ce moment que Berlioze me demanda s'ils n'étaient pas un peu chers. Pour un moment, je fis ma fille égoïste, et je dis: - Mais non. Pas du tout. Pourquoi donc ?. En fait, le prix, je m'en moquais un peu, et pendant un instant, je n'y pensai plus que c'était vu normalement d'acheter des chaussures hors de prix pour la bonne partie de la population. Ce fut seulement quand j'arrivai à la caisse et que le caissier me dit le prix que je me rendis compte de la raison pour laquelle Berlioze n'avait posé cette question. Je me mordis la lève inférieure, mais je les achetai quand même, payant avec ma carte de crédit. Quand on sortit de la boutique, je ne dis rien, jusqu'au moment où on passa devant un disquaire, où on voyait clairement mon dernier disque en vente. Je voulus passer tout droit, mais c'était tro ptard...